
Devenu député européen deux ans après le début de la crise financière, Philippe Lamberts estimait que c'était "le moment de faire bouger les lignes". Aujourd'hui il regrette de voir qu'"apres quelques années, la contre-offensive des multinationales est massive". Pourtant le politique a du pouvoir en témoigne les sommes colossales d'argent investies dans les activités de lobbying.
Pour le co-président des Verts/ALE, les conservateurs et les sociaux-démocrates ont ont une responsabilité dans la situation politique actuelle en ayant adopté la doxa néo-libérale : "ils refusent de voir l'explosion des inégalités comme le produit de ce choix politique et se comportent comme de somnambules qui nous mènent vers l'abîme". Ce à quoi on assiste avec le Brexit, Trump, "c'est une révolte contre cette pensée unique".
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